too busy

 

Sylvie Quignon, du cabinet OPENPRO attire notre attention sur cette illustration.

On peut choisir plusieurs angles de vue pour cette image. Le personnage qui est le plus à plaindre, tirant la langue, n’est pas impliqué dans le dialogue, par exemple. Celui qui parle est manifestement impliqué, mais il ne regarde ni le chemin, ni le problème, ni la solution. Bien sûr, nous, à Impulsion 3000, nous sommes plus souvent dans la posture du vendeur illustrée par le troisième personnage.

Il semble évident pour le fournisseur de roues rondes, que son produit est techniquement supérieur aux roues carrées utilisées par les clients. Mais il est tout aussi évident pour le client que le moindre retard à l’exécution de la tâche confiée est rédhibitoire. Comment sortir de cette situation?

Il y a de multiples méthodes et stratégies possibles. Il nous semble qu’il y a deux axes :

  • Trouver la bonne position. C’est au vendeur d’anticiper les angles de vues, de chercher l’angle d’entrée, et de se mettre, lui et sa roue ronde, à une place où il est vu et reconnu par les clients.
  • Trouver une meilleure posture. Les oreilles basses, la bouche en forme de moue, c’est négatif. En adoptant une autre posture corporelle, ça irait déjà mieux :

roues carrées

La langue rouge n’évoque plus l’effort, mais l’envie!

 

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